Dans le cadre de ses fonctions, l’Office produit des guides, des rapports, des analyses, des avis et des mémoires sur un ensemble de sujets touchant les personnes handicapées.
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Dans le cadre de la Stratégie gouvernementale intégrée 2022-2027 « Contrer la violence sexuelle, la violence conjugale et Rebâtir la confiance », l’Office des personnes handicapées du Québec s’est engagé à analyser la violence entre partenaires intimes vécue par les femmes avec incapacité au Québec. Cette analyse dresse un portrait à l’aide des données de l’Enquête sur la sécurité dans les espaces publics et privés (ESEPP) de 2018.
Dans l’année précédant l’Enquête, les résultats révèlent que près d’une femme avec incapacité sur six (16 %) a vécu de la violence de la part d’un partenaire intime, comparativement à 11 % des femmes sans incapacité.
Au cours de leur vie, plus de la moitié (51 %) des femmes ayant une incapacité ont vécu au moins un épisode de violence de la part d’un partenaire intime. Cette proportion est plutôt de 35 % chez les femmes sans incapacité. De plus, 60 % des jeunes femmes avec incapacité (15 à 34 ans) rapportent avoir vécu de la violence entre partenaires intimes, ce qui correspond à une proportion plus élevée que les femmes de 65 ans et plus avec incapacité (32 %).
Ces données sont préoccupantes pour l'Office. Elles renforcent la nécessité de développer des interventions différenciées et adaptées auprès des femmes avec incapacité.
Ce rapport présente un portrait des femmes avec incapacité au Québec à partir principalement des données statistiques les plus récentes et, pour certains aspects spécifiques, de la documentation scientifique.
Il a pour objectif de documenter la situation des femmes avec incapacité au Québec selon différents aspects de leurs conditions de vie et de leur participation sociale. Sa réalisation s’inscrit dans le cadre d’un engagement de l’Office des personnes handicapées du Québec à la Stratégie gouvernementale pour l’égalité entre les femmes et les hommes vers 2021.
En résumé, les données contenues dans ce rapport tendent à démontrer que les femmes avec incapacité sont en général désavantagées en ce qui a trait à leurs conditions de vie ainsi qu’à leur participation sociale.
Cette publication traite de l’état de santé et de la consommation de médicaments sous ordonnance de la population québécoise âgée de 15 ans et plus avec incapacité.
Elle a été réalisée à partir des données de l’Enquête canadienne sur l’incapacité (ECI) de 2017. La population étudiée est celle vivant en ménage privé et résidant au Québec au moment du recensement de 2016.
Ce rapport présente une analyse des données de l’Enquête sur les dépenses des ménages de 2013 qui permet de comparer les dépenses des ménages comprenant une personne avec incapacité avec celles des ménages ne comprenant aucune personne avec incapacité.
L’analyse montre que les ménages avec incapacité ont un profil de dépenses qui se distingue des ménages sans incapacité. Ils ont en effet des dépenses plus élevées dans un petit nombre de catégories de dépenses, par exemple les frais directs de soins de santé, et des dépenses moins élevées dans plusieurs autres catégories, comme le transport, les vêtements et accessoires, les activités de loisirs ou le logement.
Les résultats de ce rapport suggèrent que les dépenses plus élevées en frais directs de soins de santé affectent la situation financière des ménages avec incapacité, qui doivent réduire leur consommation et se priver en diminuant leurs dépenses dans d’autres catégories de dépenses essentielles. Il est permis de supposer que cette situation fait obstacle à la participation sociale des personnes avec incapacité au Québec.
Cette publication constitue le septième volume d’une collection de 8 volumes portant sur la participation sociale des personnes avec incapacité. Cette collection a été réalisée à partir des données de l’Enquête canadienne sur l’incapacité (ECI) de 2012.
Le volume 7 aborde divers aspects liés à la scolarisation de la population québécoise de 15 à 64 ans avec incapacité. Plus particulièrement, la publication traite de la fréquentation scolaire de ces personnes, du type d’établissement fréquenté ainsi que de leurs besoins, pour pouvoir fréquenter l’école ou suivre leurs cours, en matière d’installations adaptées ou modifiées (telles que les salles de cours accessibles, les salles de toilettes adaptées, etc.) ou d’appareils, de services de soutien, de programmes d’études adaptés ou modifiés ou de temps supplémentaire pour passer leurs examens. Lorsque possible, les analyses sont détaillées selon le sexe, l’âge ainsi que le type et la gravité de l’incapacité.
Enfin, le document s’attarde aux conséquences de l’état sur le parcours scolaire (p. ex. : arrêt des études, changement d’orientation scolaire) et l’expérience scolaire (p. ex. : intimidation) de ces personnes. Il montre qu’environ trois de ces personnes sur dix ont mis fin à leurs études en raison de leur état ou de leur problème de santé.
Réalisée en collaboration avec l’Office des personnes handicapées du Québec, cette édition du bulletin Zoom Santé s’intéresse aux besoins d’aide non comblés pour les activités de la vie quotidienne ou domestique chez les personnes de 15 ans et plus ayant une incapacité.
L’étude repose sur les données de l’Enquête canadienne sur l’incapacité (2012) de Statistique Canada. Elle visait notamment à établir si le sexe, l’âge, la gravité de l’incapacité et le type d’incapacité sont liés aux besoins d’aide non comblés. Les résultats révèlent que le quart des personnes avec incapacité ont besoin d’aide pour réaliser leurs activités de la vie quotidienne ou domestique et qu’un peu plus de la moitié d’entre elles ont un besoin d’aide non comblé. En outre, les jeunes de 15 à 34 ans ont une plus grande probabilité de manquer d’aide ou de n’en recevoir aucune, peu importe le type d’activité.
L’évaluation de la mise en œuvre de la planification individualisée et coordonnée des services (ci-après démarches de plans de services) dans le réseau de la santé et des services sociaux (RSSS) et le réseau de l’éducation est la première à avoir été effectuée au Québec. Selon la politique À part entière : pour un véritable exercice du droit à l’égalité (Québec 2009), les démarches de plans de services sont une priorité pour relever le défi d’une société respectueuse des choix et des besoins des personnes handicapées et de leur famille. Parmi ces démarches, on retrouve notamment le plan de services individualisé (PSI) et le plan de services individualisé et intersectoriel (PSII). Elles visent à assurer une continuité des services de manière à atteindre les objectifs que se donne une personne.
L’enquête par sondage réalisée dans le cadre de cette évaluation a permis de démontrer que les démarches de plans de services sont implantées à des degrés différents selon les établissements et les réseaux, et que leurs modalités d’application et d’utilisation sont variables. Les résultats permettent de réitérer l’importance de poursuivre et de consolider la collaboration intersectorielle et le partenariat entre les acteurs concernés afin d’harmoniser et de généraliser les pratiques lorsqu’une démarche de plan de services est nécessaire pour répondre aux besoins d’une personne handicapée.